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Anesthésie & Réanimation . Vol. 4, n° 2Journée Monothématique en Réanimation. La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratiqueMention de date : Mars 2018 Paru le : 01/03/2018 |
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Vol. 4, n° 2 - Mars 2018 - Journée Monothématique en Réanimation. La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique [texte imprimé] . - 2018. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierVentilation mécanique en réanimation : ce qu'il faut savoir en 2017 / Comité Réanimation de la SFAR in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Ventilation mécanique en réanimation : ce qu'il faut savoir en 2017 Type de document : texte imprimé Auteurs : Comité Réanimation de la SFAR ; Jean-Michel Constantin ; Caroline Duracher Gout ; et al. Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 127-129 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.013 Langues : Français (fre) Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE REANIMATION Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57298
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 127-129[article] Ventilation mécanique en réanimation : ce qu'il faut savoir en 2017 [texte imprimé] / Comité Réanimation de la SFAR ; Jean-Michel Constantin ; Caroline Duracher Gout ; et al. . - 2018 . - p. 127-129.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.013
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 127-129
Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE REANIMATION Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57298 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt La commande centrale de la ventilation / Sébastien Campion in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : La commande centrale de la ventilation Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Campion ; Suela Demiri ; Mathieu Raux Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 130-133 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.012 Langues : Français (fre) Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE Résumé : La ventilation constitue un acte physiologique vital, dont l’objectif est d’assurer l’élimination du CO2. Sa commande trouve son origine dans le tronc cérébral, au sein de deux générateurs couplés. Ainsi produite, elle est transmise aux muscles ventilatoires par un réseau d’interneurones du tronc cérébral. Cette commande automatique est « épaulée » par une commande supra-pontique trouvant son origine au sein de structures corticales et sous corticales. Les informations provenant de mécanorécepteurs et de chémorécepteurs renseignent le système ventilatoire sur son état d’activation et son objectif. La commande ventilatoire est augmentée par l’hypercapnie, la survenue d’une contrainte à l’écoulement de l’air ainsi que l’angoisse. Elle est inhibée par les médicaments de l’anesthésie et par la ventilation mécanique. D’un point de vue clinique, elle ne peut être dissociée de la notion de sensation ventilatoire, en particulier de confort. Le bon réglage de la ventilation mécanique doit tenir compte de ses effets sur la commande et le confort du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57299
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 130-133[article] La commande centrale de la ventilation [texte imprimé] / Sébastien Campion ; Suela Demiri ; Mathieu Raux . - 2018 . - p. 130-133.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.012
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 130-133
Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE Résumé : La ventilation constitue un acte physiologique vital, dont l’objectif est d’assurer l’élimination du CO2. Sa commande trouve son origine dans le tronc cérébral, au sein de deux générateurs couplés. Ainsi produite, elle est transmise aux muscles ventilatoires par un réseau d’interneurones du tronc cérébral. Cette commande automatique est « épaulée » par une commande supra-pontique trouvant son origine au sein de structures corticales et sous corticales. Les informations provenant de mécanorécepteurs et de chémorécepteurs renseignent le système ventilatoire sur son état d’activation et son objectif. La commande ventilatoire est augmentée par l’hypercapnie, la survenue d’une contrainte à l’écoulement de l’air ainsi que l’angoisse. Elle est inhibée par les médicaments de l’anesthésie et par la ventilation mécanique. D’un point de vue clinique, elle ne peut être dissociée de la notion de sensation ventilatoire, en particulier de confort. Le bon réglage de la ventilation mécanique doit tenir compte de ses effets sur la commande et le confort du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57299 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Hyperoxie : un réel enjeu ? / Didier Payen in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Hyperoxie : un réel enjeu ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Didier Payen Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 134-137 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.011 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANOXIE Hyperoxie Résumé : L’application de l’hyperoxie en présence d’hypoxie est débattue dans la littérature. Des articles ont rapporté des effets délétères qui peuvent engendrer une aggravation pronostique, sans réelle preuve clinique. Après avoir revue les définitions et les voies essentielles impliquées dans la reperfusion tissulaire, il apparaît que l’oxygène dissout est le facteur essentiel sanguin augmenté par l’hyperoxie. Bien que non prouvé, il est le facteur majeur de la formation accrue de dérivé réactif de l’oxygène (ROS) au-delà de la production physiologique. Cette hyperproduction de ROS stimule des voies métaboliques couvrant la transduction d’enzymes impliqués dans le métabolisme des ROS ainsi que leur fonction. Bien qu’imparfaitement connu, le métabolisme des ROS est largement modifié par l’hyperoxie, changeant le métabolisme cellulaire. La circonstance la plus fréquemment discutée pour l’utilisation de l’hyperoxie concerne l’arrêt cardiaque réanimé avec succès. Les organes cibles de la surproduction de ROS les plus étudiés sont le cerveau, le poumon, et le système immunitaire. Il semble que les ROS induisent des dégâts cellulaires au niveau du ADN qui peuvent être réparés ou restent définitifs conduisant à la mort cellulaire, en fonction de la durée et de l’intensité de production. Après avoir intégré les résultats expérimentaux, cette revue mentionne les résultats cliniques. Aucune étude ne permet de tirer une conclusion du fait de la grande hétérogénéité des protocoles et des méthodes utilisés. À partir de ces observations, on peut proposer une attitude raisonnable, qui doit cependant être testée et prouvée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57300
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 134-137[article] Hyperoxie : un réel enjeu ? [texte imprimé] / Didier Payen . - 2018 . - p. 134-137.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.011
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 134-137
Mots-clés : ANOXIE Hyperoxie Résumé : L’application de l’hyperoxie en présence d’hypoxie est débattue dans la littérature. Des articles ont rapporté des effets délétères qui peuvent engendrer une aggravation pronostique, sans réelle preuve clinique. Après avoir revue les définitions et les voies essentielles impliquées dans la reperfusion tissulaire, il apparaît que l’oxygène dissout est le facteur essentiel sanguin augmenté par l’hyperoxie. Bien que non prouvé, il est le facteur majeur de la formation accrue de dérivé réactif de l’oxygène (ROS) au-delà de la production physiologique. Cette hyperproduction de ROS stimule des voies métaboliques couvrant la transduction d’enzymes impliqués dans le métabolisme des ROS ainsi que leur fonction. Bien qu’imparfaitement connu, le métabolisme des ROS est largement modifié par l’hyperoxie, changeant le métabolisme cellulaire. La circonstance la plus fréquemment discutée pour l’utilisation de l’hyperoxie concerne l’arrêt cardiaque réanimé avec succès. Les organes cibles de la surproduction de ROS les plus étudiés sont le cerveau, le poumon, et le système immunitaire. Il semble que les ROS induisent des dégâts cellulaires au niveau du ADN qui peuvent être réparés ou restent définitifs conduisant à la mort cellulaire, en fonction de la durée et de l’intensité de production. Après avoir intégré les résultats expérimentaux, cette revue mentionne les résultats cliniques. Aucune étude ne permet de tirer une conclusion du fait de la grande hétérogénéité des protocoles et des méthodes utilisés. À partir de ces observations, on peut proposer une attitude raisonnable, qui doit cependant être testée et prouvée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57300 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt SDRA []Syndrome de détresse respiratoire aiguë] ou SDRAs / Jean-Michel Constantin in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : SDRA []Syndrome de détresse respiratoire aiguë] ou SDRAs Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Michel Constantin ; Matthieu Jabaudon Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 138-140 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.010 Langues : Français (fre) Mots-clés : DETRESSE RESPIRATOIRE Résumé :
Résumé
En dépit des progrès faits dans la compréhension de la physiopathologie et des avancées en termes de stratégie ventilatoire, la mortalité inhérente au SDRA demeure très élevée. Un faisceau d’arguments cliniques et biologiques vient appuyer l’idée qu’il n’existe pas un SDRA mais des phénotypes distincts de SDRA. Ces phénotypes ont des mécanismes distincts qui leur confèrent des réponses différentes aux différentes stratégies thérapeutiques. L’avenir de la prise en charge de ces patients passe probablement par la prise en compte de ces différentes formes de SDRA.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57301
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 138-140[article] SDRA []Syndrome de détresse respiratoire aiguë] ou SDRAs [texte imprimé] / Jean-Michel Constantin ; Matthieu Jabaudon . - 2018 . - p. 138-140.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.010
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 138-140
Mots-clés : DETRESSE RESPIRATOIRE Résumé :
Résumé
En dépit des progrès faits dans la compréhension de la physiopathologie et des avancées en termes de stratégie ventilatoire, la mortalité inhérente au SDRA demeure très élevée. Un faisceau d’arguments cliniques et biologiques vient appuyer l’idée qu’il n’existe pas un SDRA mais des phénotypes distincts de SDRA. Ces phénotypes ont des mécanismes distincts qui leur confèrent des réponses différentes aux différentes stratégies thérapeutiques. L’avenir de la prise en charge de ces patients passe probablement par la prise en compte de ces différentes formes de SDRA.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57301 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Ventilation protectrice pour tous ? (oedème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) / Christophe Quesnel in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Ventilation protectrice pour tous ? (oedème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Quesnel ; El Mahdi Hafiani ; Marc Garnier Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 141-146 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.009 Langues : Français (fre) Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE DETRESSE RESPIRATOIRE Résumé : La ventilation est une technique essentielle en réanimation dont les modalités peuvent conditionner l’évolution du patient. Diverses études animales et cliniques dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ont montré le rôle délétère de volume courant (Vt) ≥12mL/kg de poids idéal théorique (PIT). Ces travaux ont conduit au concept de lésions induites par le ventilateur (VILI), dont les principaux déterminants sont le volotrauma, le barotrauma et l’atélectrauma. Il semble que l’adéquation entre Vt administré et volume pulmonaire disponible traduite par la pression motrice soit un déterminant essentiel du VILI. Ces mécanismes d’agression se combinent et peuvent être assimilés à une énergie mécanique délivrée au poumon introduisant une notion dynamique au VILI. Au cours du SDRA, la ventilation protectrice associant réduction du Vt à 6mL/kg PIT et usage de la pression expiratoire positive (PEP) a été évaluée. Les résultats positifs de ces études, ont conduit à extrapoler ce concept en anesthésie et chez tous les patients critiques sans critères de SDRA recevant une ventilation. Des études de cohortes conduites chez des patients sans SDRA suggèrent qu’une diminution du Vt et des stratégies combinées de ventilation protectrice sont associées à une plus faible incidence de SDRA et pour certaines à une amélioration du pronostic. Cependant, les résultats de plusieurs essais randomisés en cours permettront de progresser sur les modalités de cette ventilation protectrice appliquée à tous les patients ventilés. La ventilation protectrice semble donc à privilégier en l’intégrant à la prise en charge de la pathologie concernée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57302
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 141-146[article] Ventilation protectrice pour tous ? (oedème pulmonaire cardiogénique, embolie pulmonaire, asthme, BPCO) [texte imprimé] / Christophe Quesnel ; El Mahdi Hafiani ; Marc Garnier . - 2018 . - p. 141-146.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.009
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 141-146
Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE DETRESSE RESPIRATOIRE Résumé : La ventilation est une technique essentielle en réanimation dont les modalités peuvent conditionner l’évolution du patient. Diverses études animales et cliniques dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA) ont montré le rôle délétère de volume courant (Vt) ≥12mL/kg de poids idéal théorique (PIT). Ces travaux ont conduit au concept de lésions induites par le ventilateur (VILI), dont les principaux déterminants sont le volotrauma, le barotrauma et l’atélectrauma. Il semble que l’adéquation entre Vt administré et volume pulmonaire disponible traduite par la pression motrice soit un déterminant essentiel du VILI. Ces mécanismes d’agression se combinent et peuvent être assimilés à une énergie mécanique délivrée au poumon introduisant une notion dynamique au VILI. Au cours du SDRA, la ventilation protectrice associant réduction du Vt à 6mL/kg PIT et usage de la pression expiratoire positive (PEP) a été évaluée. Les résultats positifs de ces études, ont conduit à extrapoler ce concept en anesthésie et chez tous les patients critiques sans critères de SDRA recevant une ventilation. Des études de cohortes conduites chez des patients sans SDRA suggèrent qu’une diminution du Vt et des stratégies combinées de ventilation protectrice sont associées à une plus faible incidence de SDRA et pour certaines à une amélioration du pronostic. Cependant, les résultats de plusieurs essais randomisés en cours permettront de progresser sur les modalités de cette ventilation protectrice appliquée à tous les patients ventilés. La ventilation protectrice semble donc à privilégier en l’intégrant à la prise en charge de la pathologie concernée. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57302 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Réglages "cachés" du ventilateur / Matthieu Jabaudon in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Réglages "cachés" du ventilateur Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Jabaudon ; Raiko Blondonnet ; Thomas Godet ; et al. Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 147-154 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.008 Langues : Français (fre) Mots-clés : RESPIRATION ARTIFICIELLE MATERIEL MEDICAL Résumé : Certains réglages du respirateur comme la fraction inspirée en oxygène, le débit d’insufflation, le réglage d’une pause télé-inspiratoire, le rapport entre le temps inspiratoire et le temps expiratoire, ainsi que d’autres réglages spécifiques aux modes ventilatoires assistés ont moins fait l’objet d’études cliniques que le réglage du volume courant ou de la pression télé-expiratoire positive par exemple. Pourtant, ces réglages, dits « cachés », peuvent avoir un impact majeur sur l’efficacité de la ventilation ainsi que sur le confort et le travail respiratoire du patient. L’intérêt principal de bien connaître ses réglages est de toujours chercher, lorsque cela est possible, d’adapter le respirateur au patient et non d’adapter le patient au respirateur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57303
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 147-154[article] Réglages "cachés" du ventilateur [texte imprimé] / Matthieu Jabaudon ; Raiko Blondonnet ; Thomas Godet ; et al. . - 2018 . - p. 147-154.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.008
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 147-154
Mots-clés : RESPIRATION ARTIFICIELLE MATERIEL MEDICAL Résumé : Certains réglages du respirateur comme la fraction inspirée en oxygène, le débit d’insufflation, le réglage d’une pause télé-inspiratoire, le rapport entre le temps inspiratoire et le temps expiratoire, ainsi que d’autres réglages spécifiques aux modes ventilatoires assistés ont moins fait l’objet d’études cliniques que le réglage du volume courant ou de la pression télé-expiratoire positive par exemple. Pourtant, ces réglages, dits « cachés », peuvent avoir un impact majeur sur l’efficacité de la ventilation ainsi que sur le confort et le travail respiratoire du patient. L’intérêt principal de bien connaître ses réglages est de toujours chercher, lorsque cela est possible, d’adapter le respirateur au patient et non d’adapter le patient au respirateur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57303 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Ventilation : particularités pédiatriques / Christophe Milési in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Ventilation : particularités pédiatriques Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Milési ; Julien Baleine ; Gilles Cambonie Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 155-160 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.006 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOINS PEDIATRIQUES RESPIRATION ARTIFICIELLE ENFANT POUMON Résumé : La ventilation chez l’enfant a de grandes similarités avec celle de l’adulte. Il existe néanmoins quelques spécificités à prendre en compte. Sur un plan physiologique, le poumon de l’enfant est son « talon d’Achille » avec des valeurs de compliance et de résistance très différentes de celles de l’adulte. Le recours à la VNI est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le SDRA. La ventilation de l’enfant prématuré nécessite d’adapter toutes les valeurs aux données anthropométriques de l’enfant et d’éviter un certain nombre de pièges. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57304
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 155-160[article] Ventilation : particularités pédiatriques [texte imprimé] / Christophe Milési ; Julien Baleine ; Gilles Cambonie . - 2018 . - p. 155-160.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.006
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 155-160
Mots-clés : SOINS PEDIATRIQUES RESPIRATION ARTIFICIELLE ENFANT POUMON Résumé : La ventilation chez l’enfant a de grandes similarités avec celle de l’adulte. Il existe néanmoins quelques spécificités à prendre en compte. Sur un plan physiologique, le poumon de l’enfant est son « talon d’Achille » avec des valeurs de compliance et de résistance très différentes de celles de l’adulte. Le recours à la VNI est de plus en plus fréquent, en première intention, pour la prise en charge des détresses respiratoires. Certaines indications sont étayées par des preuves, notamment les bronchiolites virales, avec un taux d’échec très faible. D’autres restent associées à un taux d’échec important, comme le SDRA. La ventilation de l’enfant prématuré nécessite d’adapter toutes les valeurs aux données anthropométriques de l’enfant et d’éviter un certain nombre de pièges. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57304 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation / Luca Servan in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : Luca Servan ; Antoine Sannini ; Djamel Mokart Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 161-168 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.002 Langues : Français (fre) Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE DETRESSE RESPIRATOIRE REANIMATION OXYGENOTHERAPIE Résumé : La ventilation non invasive (VNI) est utilisée avec succès depuis près de deux décennies dans le contexte de décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et d’œdème aigu du poumon (OAP). La VNI a également été utilisée dans d’autres cadres nosologiques, avec des résultats discordants dans la littérature concernant le pronostic et la diminution de l’intubation oro-trachéale. Afin de définir plus clairement les champs d’application optimaux de la VNI, les études tendent à analyser des populations de patients moins hétérogènes, notamment dans le cadre des insuffisances respiratoires aiguës hypoxémiques dites « de novo ». Dans ce contexte, l’oxygénothérapie à haut débit (OHD) semble permettre l'obtention d'une oxygénation bien supérieure aux dispositifs standards avec un bien meilleur confort, sans reposer sur une ventilation en pression positive, à l’inverse de la VNI. Le but de cette revue de la littérature est de comparer l’efficacité de la VNI et de l’OHD dans les différents contextes de détresse respiratoire rencontrés en réanimation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57305
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 161-168[article] Comparaison entre oxygénothérapie à haut débit et ventilation non invasive en réanimation [texte imprimé] / Luca Servan ; Antoine Sannini ; Djamel Mokart . - 2018 . - p. 161-168.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.002
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 161-168
Mots-clés : VENTILATION ARTIFICIELLE DETRESSE RESPIRATOIRE REANIMATION OXYGENOTHERAPIE Résumé : La ventilation non invasive (VNI) est utilisée avec succès depuis près de deux décennies dans le contexte de décompensation de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et d’œdème aigu du poumon (OAP). La VNI a également été utilisée dans d’autres cadres nosologiques, avec des résultats discordants dans la littérature concernant le pronostic et la diminution de l’intubation oro-trachéale. Afin de définir plus clairement les champs d’application optimaux de la VNI, les études tendent à analyser des populations de patients moins hétérogènes, notamment dans le cadre des insuffisances respiratoires aiguës hypoxémiques dites « de novo ». Dans ce contexte, l’oxygénothérapie à haut débit (OHD) semble permettre l'obtention d'une oxygénation bien supérieure aux dispositifs standards avec un bien meilleur confort, sans reposer sur une ventilation en pression positive, à l’inverse de la VNI. Le but de cette revue de la littérature est de comparer l’efficacité de la VNI et de l’OHD dans les différents contextes de détresse respiratoire rencontrés en réanimation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57305 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Pré-habilitation, réhabilitation ? / Anne Freynet in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Pré-habilitation, réhabilitation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne Freynet ; Pierre Grandet ; Olivier Joannes-Boyau ; Alexandre Ouattara Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 169-174 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.007 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOINS POSTOPERATOIRES REANIMATION POSTOPERATOIRE KINESITHERAPIE NEUROMYOPATHIE Résumé : La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57306
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 169-174[article] Pré-habilitation, réhabilitation ? [texte imprimé] / Anne Freynet ; Pierre Grandet ; Olivier Joannes-Boyau ; Alexandre Ouattara . - 2018 . - p. 169-174.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.007
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 169-174
Mots-clés : SOINS POSTOPERATOIRES REANIMATION POSTOPERATOIRE KINESITHERAPIE NEUROMYOPATHIE Résumé : La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57306 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation / Arnaud W. Thille in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
[article]
Titre : Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : Arnaud W. Thille Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 175-179 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.005 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEVRAGE RESPIRATION ARTIFICIELLE REANIMATION EXTUBATION Résumé : En réanimation, le taux de réintubation après extubation programmée est d’environ 15 %. Afin de réduire le risque d’échec, les sociétés savantes (SFAR-SRLF) recommandent la réalisation systématique d’une épreuve de sevrage chez tous les patients intubés plus de 48h. L’épreuve de sevrage a pour but de simuler les conditions physiologiques de la respiration spontanée après l’extubation. Elle peut être réalisée soit en ventilation spontanée sur pièce en T, soit avec en aide inspiratoire sur le ventilateur (AI entre 5 à 8cm H2O). Le travail respiratoire après extubation est identique au travail respiratoire lors d’une pièce en T. En effet, les résistances des voies aériennes supérieures restent élevées même après l’extubation, et le travail respiratoire n’est pas diminué malgré l’ablation de la sonde d’intubation. L’épreuve de pièce en T reflète donc parfaitement les conditions physiologiques de la respiration spontanée. Par comparaison, le travail respiratoire est plus faible lors d’une épreuve en AI que lors d’une pièce en T et certaines études suggèrent que l’épreuve en AI pourrait accélérer l’extubation. Dans ces études, le taux de réintubation n’était pas augmenté malgré une épreuve en AI plus facile que l’épreuve de pièce en T ou la respiration spontanée. Les recommandations américaines proposent donc de réaliser la première épreuve de sevrage en AI plutôt qu’en pièce en T afin de favoriser l’extubation précoce. Cependant, aucune étude n’a comparé le taux de réintubation selon l’épreuve de sevrage chez les patients à haut risque, et les résultats actuels devraient être interprétés avec prudence chez ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57307
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 175-179[article] Comment réaliser une épreuve de sevrage en réanimation [texte imprimé] / Arnaud W. Thille . - 2018 . - p. 175-179.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.005
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 175-179
Mots-clés : SEVRAGE RESPIRATION ARTIFICIELLE REANIMATION EXTUBATION Résumé : En réanimation, le taux de réintubation après extubation programmée est d’environ 15 %. Afin de réduire le risque d’échec, les sociétés savantes (SFAR-SRLF) recommandent la réalisation systématique d’une épreuve de sevrage chez tous les patients intubés plus de 48h. L’épreuve de sevrage a pour but de simuler les conditions physiologiques de la respiration spontanée après l’extubation. Elle peut être réalisée soit en ventilation spontanée sur pièce en T, soit avec en aide inspiratoire sur le ventilateur (AI entre 5 à 8cm H2O). Le travail respiratoire après extubation est identique au travail respiratoire lors d’une pièce en T. En effet, les résistances des voies aériennes supérieures restent élevées même après l’extubation, et le travail respiratoire n’est pas diminué malgré l’ablation de la sonde d’intubation. L’épreuve de pièce en T reflète donc parfaitement les conditions physiologiques de la respiration spontanée. Par comparaison, le travail respiratoire est plus faible lors d’une épreuve en AI que lors d’une pièce en T et certaines études suggèrent que l’épreuve en AI pourrait accélérer l’extubation. Dans ces études, le taux de réintubation n’était pas augmenté malgré une épreuve en AI plus facile que l’épreuve de pièce en T ou la respiration spontanée. Les recommandations américaines proposent donc de réaliser la première épreuve de sevrage en AI plutôt qu’en pièce en T afin de favoriser l’extubation précoce. Cependant, aucune étude n’a comparé le taux de réintubation selon l’épreuve de sevrage chez les patients à haut risque, et les résultats actuels devraient être interprétés avec prudence chez ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57307 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt "La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique" : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? / Antoine Monsel in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
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Titre : "La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique" : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Monsel ; Marine Le Corre ; Romain Deransy ; et al. Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 180-189 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.003 Langues : Français (fre) Mots-clés : MATERIEL MEDICAL INTUBATION ENDOTRACHEALE RESPIRATION ARTIFICIELLE REANIMATION Résumé : L’usage de sondes d’intubation endotrachéale avec ballonnet en polyvinyle chloride de type cylindrique, ajouté au contrôle rigoureux de la pression ajustée entre 20 et 30 cmH2O, éventuellement aidé par des dispositifs de régulation continue, doit être associé à l’aspiration régulière des sécrétions sous-glottiques dont les modalités optimales restent encore à définir. L’association de ces différents éléments constitue probablement une combinaison synergique nécessaire pour réduire au maximum l’incidence des pneumonies acquises en réanimation. Les circuits double branche avec filtres échangeurs de chaleur et d’humidité couplé à un raccord annelé restent adaptés à la grande majorité des patients, faisant réserver les humidificateurs chauffants à des situations spécifiques et minoritaires (sécrétions abondantes, risque majeur d’obstruction de sonde). L’hétérogénéité importante des performances des filtres commercialisés rend essentiel d’en vérifier les caractéristiques (capacité d’humidification, espace mort) qui orienteront le choix définitif du matériel utilisé. Le choix du ventilateur de réanimation repose essentiellement sur un cahier des charges ciblant le type de pathologie respiratoire, les modes ventilatoires et les outils de monitorages utilisés par l’équipe en charge. Les ventilateurs polyvalents de réanimation présentent des performances médiocres concernant la gestion des asynchronies, cependant, ils restent les plus adaptés aux patients de réanimation bénéficiant de ventilation invasive. La grande hétérogénéité de leurs performances impose un examen rigoureux de leurs capacités à délivrer les paramètres demandés, et à pressuriser les voies aériennes, afin de choisir au mieux un ventilateur garantissant le meilleur niveau de soin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57308
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 180-189[article] "La ventilation mécanique : de la physiologie à la pratique" : quelle sonde, quel circuit, quel ventilateur ? [texte imprimé] / Antoine Monsel ; Marine Le Corre ; Romain Deransy ; et al. . - 2018 . - p. 180-189.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.003
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 180-189
Mots-clés : MATERIEL MEDICAL INTUBATION ENDOTRACHEALE RESPIRATION ARTIFICIELLE REANIMATION Résumé : L’usage de sondes d’intubation endotrachéale avec ballonnet en polyvinyle chloride de type cylindrique, ajouté au contrôle rigoureux de la pression ajustée entre 20 et 30 cmH2O, éventuellement aidé par des dispositifs de régulation continue, doit être associé à l’aspiration régulière des sécrétions sous-glottiques dont les modalités optimales restent encore à définir. L’association de ces différents éléments constitue probablement une combinaison synergique nécessaire pour réduire au maximum l’incidence des pneumonies acquises en réanimation. Les circuits double branche avec filtres échangeurs de chaleur et d’humidité couplé à un raccord annelé restent adaptés à la grande majorité des patients, faisant réserver les humidificateurs chauffants à des situations spécifiques et minoritaires (sécrétions abondantes, risque majeur d’obstruction de sonde). L’hétérogénéité importante des performances des filtres commercialisés rend essentiel d’en vérifier les caractéristiques (capacité d’humidification, espace mort) qui orienteront le choix définitif du matériel utilisé. Le choix du ventilateur de réanimation repose essentiellement sur un cahier des charges ciblant le type de pathologie respiratoire, les modes ventilatoires et les outils de monitorages utilisés par l’équipe en charge. Les ventilateurs polyvalents de réanimation présentent des performances médiocres concernant la gestion des asynchronies, cependant, ils restent les plus adaptés aux patients de réanimation bénéficiant de ventilation invasive. La grande hétérogénéité de leurs performances impose un examen rigoureux de leurs capacités à délivrer les paramètres demandés, et à pressuriser les voies aériennes, afin de choisir au mieux un ventilateur garantissant le meilleur niveau de soin. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57308 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intubation et extubation du patient de réanimation / Matthieu Truc in Anesthésie & Réanimation, Vol. 4, n° 2 (Mars 2018)
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Titre : Intubation et extubation du patient de réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Truc ; Hervé Quintard Année de publication : 2018 Article en page(s) : p. 190-197 Note générale : Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.004 Langues : Français (fre) Mots-clés : INTUBATION:EXTUBATION REANIMATION RESPIRATION ARTIFICIELLE Résumé : L’intubation et l’extubation sont des périodes considérées comme à risque chez nos patients de réanimation. Les conditions d’intubation en contexte d’urgence associées à un état hémodynamique et respiratoire précaires font que celle-ci doit être considérée systématiquement comme compliquée et doit nous conduire à une préparation stricte dans sa réalisation. Il en va de même pour la période d’extubation car l’échec de celle-ci conduit à une aggravation du pronostique. Nous rapportons et discutons dans ce texte les principaux points de la dernière recommandation formalisée d’expert organisée conjointement par la SFAR et la SRLF, afin d’optimiser la réalisation de ces deux procedures chez nos patients de réanimation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57309
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 190-197[article] Intubation et extubation du patient de réanimation [texte imprimé] / Matthieu Truc ; Hervé Quintard . - 2018 . - p. 190-197.
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.004
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 190-197
Mots-clés : INTUBATION:EXTUBATION REANIMATION RESPIRATION ARTIFICIELLE Résumé : L’intubation et l’extubation sont des périodes considérées comme à risque chez nos patients de réanimation. Les conditions d’intubation en contexte d’urgence associées à un état hémodynamique et respiratoire précaires font que celle-ci doit être considérée systématiquement comme compliquée et doit nous conduire à une préparation stricte dans sa réalisation. Il en va de même pour la période d’extubation car l’échec de celle-ci conduit à une aggravation du pronostique. Nous rapportons et discutons dans ce texte les principaux points de la dernière recommandation formalisée d’expert organisée conjointement par la SFAR et la SRLF, afin d’optimiser la réalisation de ces deux procedures chez nos patients de réanimation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57309 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt