[article] 
inSanté mentale > 246 (Mars 20202) . - p. 56-63

Titre :	Alzheimer, pour une communication en appui sur les symptômes
Type de document :	document graphique à deux dimensions
Auteurs :	Jean-Claude Monfort
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 56-63
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Alzheimer, Maladie d' Malades mentaux -- Communication Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Résumé :	"La maladie d’Alzheimer va avec son lot d’obstacles à la communication. Pour les dépasser, il faudrait remettre cette maladie à la place où elle aurait dû rester : un syndrome d’Alzheimer. Ainsi nommée, la voie devient moins difficile pour une communication centrée sur l’adaptation aux symptômes liés aux baisses cognitives. Le deuxième obstacle à franchir est celui des autres symptômes «non cognitifs». Ces symptômes déconcertants peuvent être identifiés et mesurés grâce à un instrument simple permettant d’aller au-delà d’une prise de température. La circulation de la parole et la réflexion en équipe permettent de savoir ce qu’il ne faut pas faire. Elle permet surtout de construire des attitudes appropriées sur mesure. Les symptômes ayant été désamorcés, la communication peut alors s’ouvrir sur le meilleur, de la simple diversion flash jusqu’au divin dans l’humain : la création et l’art-thérapie."
Note de contenu :	Cet article fait partie du dossier "Alzheimer : comment communiquer?"

[article] Alzheimer, pour une communication en appui sur les symptômes [document graphique à deux dimensions] / Jean-Claude Monfort . - 2020 . - p. 56-63.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 246 (Mars 20202) . - p. 56-63

Catégories :	Alzheimer, Maladie d' Malades mentaux -- Communication Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Résumé :	"La maladie d’Alzheimer va avec son lot d’obstacles à la communication. Pour les dépasser, il faudrait remettre cette maladie à la place où elle aurait dû rester : un syndrome d’Alzheimer. Ainsi nommée, la voie devient moins difficile pour une communication centrée sur l’adaptation aux symptômes liés aux baisses cognitives. Le deuxième obstacle à franchir est celui des autres symptômes «non cognitifs». Ces symptômes déconcertants peuvent être identifiés et mesurés grâce à un instrument simple permettant d’aller au-delà d’une prise de température. La circulation de la parole et la réflexion en équipe permettent de savoir ce qu’il ne faut pas faire. Elle permet surtout de construire des attitudes appropriées sur mesure. Les symptômes ayant été désamorcés, la communication peut alors s’ouvrir sur le meilleur, de la simple diversion flash jusqu’au divin dans l’humain : la création et l’art-thérapie."
Note de contenu :	Cet article fait partie du dossier "Alzheimer : comment communiquer?"