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HELHa - Artistique - Économique - Pédagogique - Social - Technique
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Santé mentale / Lolivier, Isabelle . 284"Je vous écoute"Mention de date : janvier 2024 Paru le : 01/01/2024 |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierÉcouter, c’est permettre à l’autre de s’écouter / Éric Lotterie in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Écouter, c’est permettre à l’autre de s’écouter Type de document : texte imprimé Auteurs : Éric Lotterie Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 36-38 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Ecoute (psychologie)
Maladies mentales:Psychiatrie
Radio par Internet
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À la veille de son départ en retraite, un infirmier revient sur son parcours « d'écouteur » des frustrations, des impossibles, des peurs et des pleurs, des regrets et des espoirs…
J’ai 15 ans et j’écoute ma radio, mon transistor, collé à l’oreille
J’ai 12 ans, j’écoute mes parents et les gens qu’il faut écouter… La dame du catéchisme, le monsieur dans l’ascenseur avec son képi, le matin quand je pars à l’école (mon père est gendarme), la maîtresse qui parle toute la journée en regardant le plafond ou par la fenêtre, c’est selon.
J’ai 7 ans et j’écoute mon père qui écoute sa machine où des gens écoutent si on les écoute (en plus d’être gendarme, mon père est radio-amateur).
J’ai 5 ans et j’écoute le docteur qui me dit que ça ne va pas faire mal. J’ai quelques mois et j’écoute les détonations de fusils automatiques et les youyous des femmes à Alger, dans la caserne (mon père est engagé pendant la guerre d’Algérie). J’ai, je ne sais pas quel âge, et le boum boum du coeur de ma mère me remplit, me constitue, parmi les bruits mouillés qui filtrent du dehors. Je suis immergé dans un bain de sons.
J’ai des milliers d’années en arrière et je suis aux aguets, je tends l’oreille, à l’affût… Ma vie en dépend [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 36-38[article] Écouter, c’est permettre à l’autre de s’écouter [texte imprimé] / Éric Lotterie . - 2024 . - p. 36-38.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 36-38
Catégories : Ecoute (psychologie)
Maladies mentales:Psychiatrie
Radio par Internet
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À la veille de son départ en retraite, un infirmier revient sur son parcours « d'écouteur » des frustrations, des impossibles, des peurs et des pleurs, des regrets et des espoirs…
J’ai 15 ans et j’écoute ma radio, mon transistor, collé à l’oreille
J’ai 12 ans, j’écoute mes parents et les gens qu’il faut écouter… La dame du catéchisme, le monsieur dans l’ascenseur avec son képi, le matin quand je pars à l’école (mon père est gendarme), la maîtresse qui parle toute la journée en regardant le plafond ou par la fenêtre, c’est selon.
J’ai 7 ans et j’écoute mon père qui écoute sa machine où des gens écoutent si on les écoute (en plus d’être gendarme, mon père est radio-amateur).
J’ai 5 ans et j’écoute le docteur qui me dit que ça ne va pas faire mal. J’ai quelques mois et j’écoute les détonations de fusils automatiques et les youyous des femmes à Alger, dans la caserne (mon père est engagé pendant la guerre d’Algérie). J’ai, je ne sais pas quel âge, et le boum boum du coeur de ma mère me remplit, me constitue, parmi les bruits mouillés qui filtrent du dehors. Je suis immergé dans un bain de sons.
J’ai des milliers d’années en arrière et je suis aux aguets, je tends l’oreille, à l’affût… Ma vie en dépend [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’entretien à l’épreuve du délire / Blaise Rochat in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : L’entretien à l’épreuve du délire Type de document : texte imprimé Auteurs : Blaise Rochat Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 30-35 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Pair-aidance
Patients dans les hôpitaux psychiatriques -- Isolement
Psychose hallucinatoire chronique
Psychoses
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Etablir des liens significatifs avec un patient délirant nécessite de lui permettre d'exprimer son délire. Dans ce contexte, est-ce utile, sensé, de planifier des entretiens et pourquoi faire ? Témoignage.
Je vais introduire mon propos en donnant brièvement quelques éléments de mon histoire de vie, en particulier ma décompensation psychotique, en mettant l’accent sur le délire. J’évoquerai ensuite la relation soignant soigné, telle que je l’ai vécue lors de mes hospitalisations, puis j’aborderai brièvement la question de la pair-aidance.
En préambule, précisons que ce que j’évoque ici concerne en premier lieu mes expériences, d’infirmier, de patient, de pair-aidant et n’est donc bien entendu pas généralisable à l’ensemble des contextes et des situations. Par ailleurs, j’anime un blog et j’ai déjà écrit sur mon parcours [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 30-35[article] L’entretien à l’épreuve du délire [texte imprimé] / Blaise Rochat . - 2024 . - p. 30-35.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 30-35
Catégories : Pair-aidance
Patients dans les hôpitaux psychiatriques -- Isolement
Psychose hallucinatoire chronique
Psychoses
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Etablir des liens significatifs avec un patient délirant nécessite de lui permettre d'exprimer son délire. Dans ce contexte, est-ce utile, sensé, de planifier des entretiens et pourquoi faire ? Témoignage.
Je vais introduire mon propos en donnant brièvement quelques éléments de mon histoire de vie, en particulier ma décompensation psychotique, en mettant l’accent sur le délire. J’évoquerai ensuite la relation soignant soigné, telle que je l’ai vécue lors de mes hospitalisations, puis j’aborderai brièvement la question de la pair-aidance.
En préambule, précisons que ce que j’évoque ici concerne en premier lieu mes expériences, d’infirmier, de patient, de pair-aidant et n’est donc bien entendu pas généralisable à l’ensemble des contextes et des situations. Par ailleurs, j’anime un blog et j’ai déjà écrit sur mon parcours [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire L’Open Dialogue : un miroir de l’écoute ? / Saphir Desvignes in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : L’Open Dialogue : un miroir de l’écoute ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Saphir Desvignes ; Benoit Godin Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 67-71 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Communication dans les organisations
Communication verbale
Équipes de soins de santé
Relation d'aide
SystémiqueRésumé : Dispositif de résolution de la crise psychique, l'Open Dialogue met l’accent sur une communication ouverte entre tous les acteurs concernés, autour et avec le patient. En pratique, comment ça marche ?…
Au cours du XXe siècle, notre compréhension des troubles psychotiques, notamment des schizophrénies, a considérablement changé. Ils étaient initialement associés à une évolution négative et à la chronicité, mais les études témoignent aujourd’hui très largement d’une fréquente évolution favorable et de la possibilité de rétablissement (1), c’est-à-dire de « vivre avec » ces troubles (2).
Des travaux sur l’évolution des pathologies en fonction du contexte social mettent en évidence une trajectoire plus favorable dans les pays du Sud, tandis que dans les pays du Nord (où l’accès aux médicaments et aux structures de soins. est plus facile), les taux d’invalidité et de dépendance restent élevés pour les personnes concernées (3). Au-delà des facteurs liés aux troubles (pronostics de sévérité, précocité de prise en charge etc), ces études suggèrent un lien élevé avec la qualité du contexte social. Une méta-analyse suggère ainsi que, dans les schizophrénies, les interventions sociales (thérapie familiale par exemple) peuvent réduire les hospitalisations de 20 % et les rechutes de 45 % (4).
Dans nos sociétés où la solitude et l’isolement augmentent, il nous semble nécessaire d’adopter une nouvelle perspective dans les soins. L’Open Dialogue (ou « dialogue ouvert ») s’inscrit pleinement dans ce paradigme de la psychiatrie sociale. En reconnaissant l’importance fondamentale de l’entourage dans le rétablissement des usagers, cette approche intègre aux projets de soins les interactions et les liens qui façonnent notre existence.
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 67-71[article] L’Open Dialogue : un miroir de l’écoute ? [texte imprimé] / Saphir Desvignes ; Benoit Godin . - 2024 . - p. 67-71.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 67-71
Catégories : Communication dans les organisations
Communication verbale
Équipes de soins de santé
Relation d'aide
SystémiqueRésumé : Dispositif de résolution de la crise psychique, l'Open Dialogue met l’accent sur une communication ouverte entre tous les acteurs concernés, autour et avec le patient. En pratique, comment ça marche ?…
Au cours du XXe siècle, notre compréhension des troubles psychotiques, notamment des schizophrénies, a considérablement changé. Ils étaient initialement associés à une évolution négative et à la chronicité, mais les études témoignent aujourd’hui très largement d’une fréquente évolution favorable et de la possibilité de rétablissement (1), c’est-à-dire de « vivre avec » ces troubles (2).
Des travaux sur l’évolution des pathologies en fonction du contexte social mettent en évidence une trajectoire plus favorable dans les pays du Sud, tandis que dans les pays du Nord (où l’accès aux médicaments et aux structures de soins. est plus facile), les taux d’invalidité et de dépendance restent élevés pour les personnes concernées (3). Au-delà des facteurs liés aux troubles (pronostics de sévérité, précocité de prise en charge etc), ces études suggèrent un lien élevé avec la qualité du contexte social. Une méta-analyse suggère ainsi que, dans les schizophrénies, les interventions sociales (thérapie familiale par exemple) peuvent réduire les hospitalisations de 20 % et les rechutes de 45 % (4).
Dans nos sociétés où la solitude et l’isolement augmentent, il nous semble nécessaire d’adopter une nouvelle perspective dans les soins. L’Open Dialogue (ou « dialogue ouvert ») s’inscrit pleinement dans ce paradigme de la psychiatrie sociale. En reconnaissant l’importance fondamentale de l’entourage dans le rétablissement des usagers, cette approche intègre aux projets de soins les interactions et les liens qui façonnent notre existence.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Parfois, écouter ne suffit pas... / Éric Lotterie in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Parfois, écouter ne suffit pas... Type de document : texte imprimé Auteurs : Éric Lotterie Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 39 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Certains accompagnements ne laissent pas le soignant indemne...Eric Lotterie, infirmier, évoque Jean-Louis, qu'il a longuement suivi.
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 39[article] Parfois, écouter ne suffit pas... [texte imprimé] / Éric Lotterie . - 2024 . - p. 39.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 39
Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Certains accompagnements ne laissent pas le soignant indemne...Eric Lotterie, infirmier, évoque Jean-Louis, qu'il a longuement suivi. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quand la parole de l’autre nous saisit / Priscille De Thé in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Quand la parole de l’autre nous saisit Type de document : texte imprimé Auteurs : Priscille De Thé Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 60-65 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Souffrance
Traumatisme psychiqueRésumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65[article] Quand la parole de l’autre nous saisit [texte imprimé] / Priscille De Thé . - 2024 . - p. 60-65.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 60-65
Catégories : Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Souffrance
Traumatisme psychiqueRésumé : À l'écoute de la souffrance extrême, comme celle de la torture, les cliniciens doivent observer une certaine « hygiène soignante » faite de vigilance et de douceur et penser leur propre écologie du soin.
Le traumatisme est souvent la conséquence, ou le signe, d’une réaction impossible – une parole, un cri, un geste – qui n’a pas pu avoir lieu au moment d’un évènement traumatique. Lorsque la personne victime tente d’exprimer son vécu auprès d’un professionnel, ce dernier est parfois saisi à son tour. Comment faire, en tant que soignant, quand on est arrêté, figé par le récit de cet autre, par son corps, et par son silence parfois ? Comment trouver une autre voie, quand la parole de l’autre nous saisit ? Comment rester ? Est-il vraiment possible d’aller bien, en tant que soignants avec cet excès d’émotions ? Faudrait-il, parfois, partir ? Il n’y a bien sûr pas de réponse universelle.
Mon propos se base sur ma pratique de psychologue clinicienne à Parcours d’exil (1) où j’ai d’abord accueilli des personnes souffrant d’états de stress post-traumatiques sévères liés à la torture et l’exil, avec mes collègues médecins et ostéopathes. Puis l’association a développé Résonances (2), une plateforme dédiée aux professionnels qui accompagnent les personnes en demande d’asile. Depuis deux ans, mes missions se sont déplacées : je soutiens par téléphone et en visio des intervenants confrontés quotidiennement à des souffrances extrêmes.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Rôle du neuropsychologue en psychiatrie / Laurent LECARDEUR in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Rôle du neuropsychologue en psychiatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent LECARDEUR ; Romina Rinaldi ; Jean Petrucci ; Amélie Ponchel ; Elodie Peyroux ; Johana Monthuy-Blanc ; Lisa Mignot ; Sarah Gomez ; Marion Feron ; Aurore Etchepare ; Charlotte Danset ; Mathieu Cerbai Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 16-21 Langues : Français (fre) Catégories : Neuropsychologie
Psychologues -- PratiqueRésumé : L’évaluation du fonctionnement cognitif relève du psychologue spécialisé en neuropsychologie. En psychiatrie, il doit mettre en lien le profil cognitif avec la clinique et un accompagnement pertinent.
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 16-21[article] Rôle du neuropsychologue en psychiatrie [texte imprimé] / Laurent LECARDEUR ; Romina Rinaldi ; Jean Petrucci ; Amélie Ponchel ; Elodie Peyroux ; Johana Monthuy-Blanc ; Lisa Mignot ; Sarah Gomez ; Marion Feron ; Aurore Etchepare ; Charlotte Danset ; Mathieu Cerbai . - 2024 . - p. 16-21.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 16-21
Catégories : Neuropsychologie
Psychologues -- PratiqueRésumé : L’évaluation du fonctionnement cognitif relève du psychologue spécialisé en neuropsychologie. En psychiatrie, il doit mettre en lien le profil cognitif avec la clinique et un accompagnement pertinent. Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Travail émotionnel de l’écoute / Dominique Lhuilier in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Travail émotionnel de l’écoute Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Lhuilier Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 50-55 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Comportement d'aide
Ecoute (psychologie)
Émotions -- Aspect psychologique
Empathie
Travail en équipeRésumé : L’écoute de la « folie » engage le soignant sur le plan émotionnel. De quelles ressources personnelles et collectives dispose-t-il pour que l'émotion reste au service du soin et ne vienne pas le paralyser ou le dévoyer ?
Pour les professionnels du soin, la sensibilité à la souffrance d’autrui relève d’une compréhension empathique, d’une forme de compassion nécessaire pour permettre une écoute réceptive, une disponibilité psychique à l’autre.
Aujourd’hui, des techniques de prescription émotionnelle se développent. Avec la montée en puissance de la question du stress au travail, on observe le déploiement de dispositifs managériaux concourant à prescrire les états affectifs dans le travail relationnel. Hier coupables de trop d’émotions, les soignants font désormais l’objet d’une incitation au « travail émotionnel ». Développé par un courant de la sociologie des émotions initié par Hochschild, 1983, 2002, il s’agit d’un travail de contrôle et de production des émotions conformes aux exigences de la situation de travail, aux prescriptions qui les accompagnent. Les finalités de cette gestion émotionnelle prescrite sont moins du côté de la santé des professionnels que de l’accroissement de la performance attendue.
Le travail émotionnel est de plus en plus formalisé dans les manuels de formation et les discours des cadres et des formateurs (Lhuilier, 2023). Pour saisir leur portée et leur efficacité, revenons sur les épreuves psychiques de l’écoute dans le soin et leur impact sur la santé des soignants. In fine, nous préciserons les voies d’élaboration et de dépassement de ces épreuves.
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 50-55[article] Travail émotionnel de l’écoute [texte imprimé] / Dominique Lhuilier . - 2024 . - p. 50-55.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 50-55
Catégories : Comportement d'aide
Ecoute (psychologie)
Émotions -- Aspect psychologique
Empathie
Travail en équipeRésumé : L’écoute de la « folie » engage le soignant sur le plan émotionnel. De quelles ressources personnelles et collectives dispose-t-il pour que l'émotion reste au service du soin et ne vienne pas le paralyser ou le dévoyer ?
Pour les professionnels du soin, la sensibilité à la souffrance d’autrui relève d’une compréhension empathique, d’une forme de compassion nécessaire pour permettre une écoute réceptive, une disponibilité psychique à l’autre.
Aujourd’hui, des techniques de prescription émotionnelle se développent. Avec la montée en puissance de la question du stress au travail, on observe le déploiement de dispositifs managériaux concourant à prescrire les états affectifs dans le travail relationnel. Hier coupables de trop d’émotions, les soignants font désormais l’objet d’une incitation au « travail émotionnel ». Développé par un courant de la sociologie des émotions initié par Hochschild, 1983, 2002, il s’agit d’un travail de contrôle et de production des émotions conformes aux exigences de la situation de travail, aux prescriptions qui les accompagnent. Les finalités de cette gestion émotionnelle prescrite sont moins du côté de la santé des professionnels que de l’accroissement de la performance attendue.
Le travail émotionnel est de plus en plus formalisé dans les manuels de formation et les discours des cadres et des formateurs (Lhuilier, 2023). Pour saisir leur portée et leur efficacité, revenons sur les épreuves psychiques de l’écoute dans le soin et leur impact sur la santé des soignants. In fine, nous préciserons les voies d’élaboration et de dépassement de ces épreuves.Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Un fil d’Ariane pour l’entretien clinique / Dominique Friard in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : Un fil d’Ariane pour l’entretien clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Friard Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 40-45 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Cadre thérapeutique
Ecoute (psychologie)
Entretiens en psychiatrie
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Transfert (psychologie)Résumé : Formel ou informel, chaque entretien est défini par un cadre qui sert de repère aux deux interlocuteurs, chacun étant cocréateur de la séquence. Repères sur ses éléments variables : objectifs et contenus, modalités de déroulement et interactions, lieu, durée et fréquence…
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 40-45[article] Un fil d’Ariane pour l’entretien clinique [texte imprimé] / Dominique Friard . - 2024 . - p. 40-45.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 40-45
Catégories : Cadre thérapeutique
Ecoute (psychologie)
Entretiens en psychiatrie
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soigné
Transfert (psychologie)Résumé : Formel ou informel, chaque entretien est défini par un cadre qui sert de repère aux deux interlocuteurs, chacun étant cocréateur de la séquence. Repères sur ses éléments variables : objectifs et contenus, modalités de déroulement et interactions, lieu, durée et fréquence… Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Donc, si je comprends bien… » / Philippe Aïm in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « Donc, si je comprends bien… » Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Aïm Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 46-49 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Psychothérapie
Psychothérapie brèveRésumé : Comment le soignant peut-il communiquer au patient qu'il est à l'écoute ? Savoir rebondir et reformuler sont des outils indispensables de l'entretien psychothérapeutique.
Le soignant qui cherche à mieux communiquer entend souvent des conseils dont il ne sait que faire, des injonctions. qui parfois, sonnent creux à ses oreilles. Il devrait ainsi faire preuve d’empathie, traiter le patient dans sa globalité, pratiquer une écoute active… et rebondir sur les propos du patient et reformuler. Mais comment ? Pourquoi ? Et surtout pour quoi ?
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 46-49[article] « Donc, si je comprends bien… » [texte imprimé] / Philippe Aïm . - 2024 . - p. 46-49.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 46-49
Catégories : Psychothérapie
Psychothérapie brèveRésumé : Comment le soignant peut-il communiquer au patient qu'il est à l'écoute ? Savoir rebondir et reformuler sont des outils indispensables de l'entretien psychothérapeutique.
Le soignant qui cherche à mieux communiquer entend souvent des conseils dont il ne sait que faire, des injonctions. qui parfois, sonnent creux à ses oreilles. Il devrait ainsi faire preuve d’empathie, traiter le patient dans sa globalité, pratiquer une écoute active… et rebondir sur les propos du patient et reformuler. Mais comment ? Pourquoi ? Et surtout pour quoi ?Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Être écouté de façon entière » / Nathalie Micou in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « Être écouté de façon entière » Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Micou Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 29 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Ecoute (psychologie) Résumé : « L’écoute ne s’apprend pas dans les manuels, soignez avec tout ce que vous êtes, dans votre altérité ». Tel est le message de Nathalie, « usagère » de la psychiatrie depuis 35 ans, qui a commencé à croire en la parole des soignants quand ils se sont investis avec authenticité.
Peu importe le contexte, j’ai toujours un grand plaisir à écrire pour vous car je sais que vous allez m’écouter. Et ça, ce n’est pas rien : c’est même la base. Ce partage m’aide à bien des égards.
Moi, Nathalie, j’écris comme je suis, comme je respire, comme j’aime : entièrement et simplement. Vous soignants, je vous écoute inlassablement depuis plus de trente-cinq ans. Chacun est sûr que sa méthode est la meilleure – je pense que non. Vous avez lu beaucoup de livres, appris et échangé avec des grands professionnels ; vous êtes intellectuellement et émotionnellement d’un niveau « supérieur ». Je respecte vos savoirs. Bien sûr qu’il y a des soins qui fonctionnent mais pour moi l’essentiel est ailleurs.
PARTAGER
Être écouté de façon entière, c’est selon moi le meilleur moyen d’établir la confiance en l’autre, ensuite tout suit. Au plus profond de la maladie, vos paroles n’accrochent pas. Les méthodes qui sortent des manuels ne sont que de la théorie. J’ai commencé à croire en l’autre à partir du moment où certains soignants ont parlé de tout leur être. C’est peut-être difficile à accepter du côté des professionnels, car il y a un cadre à respecter, des protocoles… Mais peu importe, si cela nous sauve de nous-mêmes. J’ai commencé à croire votre parole au moment où […]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 29[article] « Être écouté de façon entière » [texte imprimé] / Nathalie Micou . - 2024 . - p. 29.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 29
Catégories : Ecoute (psychologie) Résumé : « L’écoute ne s’apprend pas dans les manuels, soignez avec tout ce que vous êtes, dans votre altérité ». Tel est le message de Nathalie, « usagère » de la psychiatrie depuis 35 ans, qui a commencé à croire en la parole des soignants quand ils se sont investis avec authenticité.
Peu importe le contexte, j’ai toujours un grand plaisir à écrire pour vous car je sais que vous allez m’écouter. Et ça, ce n’est pas rien : c’est même la base. Ce partage m’aide à bien des égards.
Moi, Nathalie, j’écris comme je suis, comme je respire, comme j’aime : entièrement et simplement. Vous soignants, je vous écoute inlassablement depuis plus de trente-cinq ans. Chacun est sûr que sa méthode est la meilleure – je pense que non. Vous avez lu beaucoup de livres, appris et échangé avec des grands professionnels ; vous êtes intellectuellement et émotionnellement d’un niveau « supérieur ». Je respecte vos savoirs. Bien sûr qu’il y a des soins qui fonctionnent mais pour moi l’essentiel est ailleurs.
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Être écouté de façon entière, c’est selon moi le meilleur moyen d’établir la confiance en l’autre, ensuite tout suit. Au plus profond de la maladie, vos paroles n’accrochent pas. Les méthodes qui sortent des manuels ne sont que de la théorie. J’ai commencé à croire en l’autre à partir du moment où certains soignants ont parlé de tout leur être. C’est peut-être difficile à accepter du côté des professionnels, car il y a un cadre à respecter, des protocoles… Mais peu importe, si cela nous sauve de nous-mêmes. J’ai commencé à croire votre parole au moment où […]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? / Louis Hector in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Louis Hector Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 24-28 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 24-28[article] « Je vous écoute… » Comment recevoir la parole du patient ? [texte imprimé] / Louis Hector . - 2024 . - p. 24-28.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 24-28
Catégories : Ecoute (psychologie)
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : Rien de plus simple, en apparence, que d’inviter une personne à s’exprimer mais dès que l’on déplie ce « Je vous écoute… », on est saisi par sa complexité, le nombre de mécanismes en jeu et ce que cela engage pour ce « je » qui écoute…
Trois mots tout simples, suivis de trois points de suspension. Une phrase sans chichi destinée à apaiser. « Je », une première personne, traduit l’engagement, la présence, l’écoutant ; « vous », la deuxième personne, tout aussi singulière que la première, nomme le destinataire qui est aussi l’émetteur potentiel, l’écouté ; puis le verbe, l’action, « écoute » signifie tout autant « je vous vois, je suis là, vous pouvez parler en confiance, je ne vous jugerai pas ». Les points de suspension ne sont pas moins importants. Ils disent l’ouverture à ce qui se dit, à ce qui vient, à ce qui se noue, là, ici et maintenant. Ils disent le possible. L’écouté peut s’en saisir et dire ce qu’il a à dire, ce qui lui pèse, ce qu’il ne supporte pas d’avoir en tête, aux tripes, au coeur en tâtonnant ou, au contraire, en s’en débarrassant le plus vite possible. Il peut aussi tout aussi bien se taire, rester silencieux, en attente, en refus. La présence, l’engagement sont de mise chez l’un et chez l’autre [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » / Valery Clouet in Santé mentale, 284 (janvier 2024)
[article]
Titre : « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » Type de document : texte imprimé Auteurs : Valery Clouet Année de publication : 2024 Article en page(s) : p. 56-59 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ". Langues : Français (fre) Catégories : Intimité (psychologie)
Patients dans les hôpitaux psychiatriques
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À 28 ans, Xavier, qui souffre de schizophrénie, se plaint que les psychotropes impactent fortement sa vie sexuelle. Les soignants sont démunis, au risque d'une non-observance et d'une rechute. Comment dépasser ce tabou de la sexualité des patients et être à l'écoute ?
Infirmier en santé mentale depuis de nombreuses années, j’ai constaté que la place des usagers a évolué, passant d’objets de soin à partenaires, voire décisionnaires de leur projet de soins. Ils demandent aujourd’hui à être entendus, notamment à propos de leur qualité de vie, ce qui bouscule nos pratiques.
J’exerce actuellement en tant qu’infirmier en pratique avancée (IPA) dans un service de psychiatrie axé sur la réhabilitation psychosociale et le rétablissement. Dans ce contexte, j’ai été sollicité par une équipe soignante sur la plainte d’ordre sexuelle d’un patient souffrant de schizophrénie. L’occasion de mesurer les réticences des professionnels à aborder ce sujet et ma propre difficulté à accompagner ce patient dans sa réflexion sur ce point sensible.
Pour aborder cette situation, j’ai tout d’abord exploré la littérature sur la santé sexuelle, la qualité de vie et les effets indésirables des psychotropes, puis envisagé les freins qui empêchent les soignants d’évoquer ou d’entendre ce type de plaintes. Cet article présente ces éléments et leur mise en perspective via un cas clinique [...]
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 56-59[article] « J’ai plus d’érection ! C’est vos cachetons… » [texte imprimé] / Valery Clouet . - 2024 . - p. 56-59.
Cet article fait partie du dossier " Je vous écoute... ".
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 284 (janvier 2024) . - p. 56-59
Catégories : Intimité (psychologie)
Patients dans les hôpitaux psychiatriques
Sciences médico-sociales:Relations soignant - soignéRésumé : À 28 ans, Xavier, qui souffre de schizophrénie, se plaint que les psychotropes impactent fortement sa vie sexuelle. Les soignants sont démunis, au risque d'une non-observance et d'une rechute. Comment dépasser ce tabou de la sexualité des patients et être à l'écoute ?
Infirmier en santé mentale depuis de nombreuses années, j’ai constaté que la place des usagers a évolué, passant d’objets de soin à partenaires, voire décisionnaires de leur projet de soins. Ils demandent aujourd’hui à être entendus, notamment à propos de leur qualité de vie, ce qui bouscule nos pratiques.
J’exerce actuellement en tant qu’infirmier en pratique avancée (IPA) dans un service de psychiatrie axé sur la réhabilitation psychosociale et le rétablissement. Dans ce contexte, j’ai été sollicité par une équipe soignante sur la plainte d’ordre sexuelle d’un patient souffrant de schizophrénie. L’occasion de mesurer les réticences des professionnels à aborder ce sujet et ma propre difficulté à accompagner ce patient dans sa réflexion sur ce point sensible.
Pour aborder cette situation, j’ai tout d’abord exploré la littérature sur la santé sexuelle, la qualité de vie et les effets indésirables des psychotropes, puis envisagé les freins qui empêchent les soignants d’évoquer ou d’entendre ce type de plaintes. Cet article présente ces éléments et leur mise en perspective via un cas clinique [...]Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire