Centre de Documentation du Campus Mons
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HELHa - Artistique - Économique - Pédagogique - Social - Technique
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Santé mentale / Lolivier, Isabelle . 258Approche familiale des troubles bipolairesMention de date : Mai 2021 Paru le : 01/05/2021 |
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Ajouter le résultat dans votre panierAddiction aux écrans, où en est-on ? / Jean-Marc Alexandre in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Addiction aux écrans, où en est-on ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Marc Alexandre ; Marc Auriacombe ; Fuschia Serre ; Christophe Rassis ; Mathieu Boudard Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 16-19 Langues : Français (fre) Catégories : Dépendance (psychologie) chez l'adolescent
Dépendance à InternetRésumé : "Mon ado est addict aux jeux vidéo !", s'inqiètent régulièment parents et enseignants. Qu'en est-il réellement de l'addiction aux écrans? Le point sur la recherche dans ce domaine ?"
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 16-19[article] Addiction aux écrans, où en est-on ? [texte imprimé] / Jean-Marc Alexandre ; Marc Auriacombe ; Fuschia Serre ; Christophe Rassis ; Mathieu Boudard . - 2021 . - p. 16-19.
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 16-19
Catégories : Dépendance (psychologie) chez l'adolescent
Dépendance à InternetRésumé : "Mon ado est addict aux jeux vidéo !", s'inqiètent régulièment parents et enseignants. Qu'en est-il réellement de l'addiction aux écrans? Le point sur la recherche dans ce domaine ?" Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Les bizarreries de maman / Nathalie Bonnouvrier in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Les bizarreries de maman Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 64-67 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Carence parentale
Médiation familiale
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : ""Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman???» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«?Aujourd’hui, nous allons parler de maman?», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «?en présence d’un tiers?» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «?maintenir le lien?». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…"
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67[article] Les bizarreries de maman [texte imprimé] / Nathalie Bonnouvrier ; Marina Stéphanoff . - 2021 . - p. 64-67.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 64-67
Catégories : Carence parentale
Médiation familiale
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : ""Mais enfin, c’est quoi, le problème avec maman???» Instituées pour protéger les enfants d’un parent défaillant, les visites médiatisées proposent un espace pour maintenir et restaurer le lien de filiation dans ces situations complexes.
«?Aujourd’hui, nous allons parler de maman?», annonce Aurélia…
Aurélia, 13 ans, son frère Augustin, 14 ans, et ses deux petites sœurs Alma, 7 ans, et Alice, 2 ans et demi sont placés en famille d’accueil. Ils viennent rencontrer leur mère dans un service de visites médiatisées. Ce sont des temps cliniques familiaux, «?en présence d’un tiers?» (à CAP Alésia, ces tiers sont des psychologues cliniciens), pour des enfants et des parents qui ne vivent pas ensemble, mais se retrouvent pour «?maintenir le lien?». Le rythme des rencontres est défini par l’aide sociale à l’enfance ou le juge des enfants. Chaque rencontre dure 1 heure. Dans ce dispositif contraint et restrictif, que ni les enfants ni les parents n’ont choisi, les psychologues s’efforcent qu’un processus thérapeutique soutienne la restauration du lien de filiation, lien blessé, douloureux, mis à mal par les histoires chaotiques de ces familles, faites de carences, de violences, de précarités, de pathologies mentales…"
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Patrimoine génétique et troubles bipolaires / Stéphane Jamain in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Patrimoine génétique et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Jamain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 26-29 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Génétique
Hérédité
Troubles bipolairesRésumé : "Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29[article] Patrimoine génétique et troubles bipolaires [texte imprimé] / Stéphane Jamain . - 2021 . - p. 26-29.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 26-29
Catégories : Génétique
Hérédité
Troubles bipolairesRésumé : "Si la génétique explique fortement la prévalence accrue de troubles bipolaires dans certaines familles, il n’y a pourtant pas de fatalité. Des personnes peuvent avoir un risque génétique important sans toutefois déclencher la maladie. Focus sur la recherche.
Depuis de nombreuses années, l’exploration du caractère familial des troubles bipolaires (TB) fait partie des pratiques cliniques de routine. Nous savons en effet que le risque de développer un TB augmente significativement dans les familles où cette pathologie a déjà été diagnostiquée et que ce risque est d’autant plus important que le degré de parenté avec la personne malade ou que le nombre de personnes atteintes dans une famille est élevé. Les grandes études épidémiologiques récentes sur des populations entières par exemple estiment un risque multiplié par 10 de développer un tel trouble lorsqu’un parent ou un frère ou une sœur en sont atteints par rapport au risque de la population générale (Lichtenstein et al., 2009). Ce risque de récurrence atteint les 50?% dans le cas de couples de jumeaux monozygotes (Kieseppä et al., 2004). Ces données nous permettent d’estimer une héritabilité pour les troubles bipolaires, c’est-à-dire la part de la maladie expliquée par le patrimoine génétique, entre 60?% et 80?% selon les études. Un taux supérieur à celui observé dans d’autres maladies à hérédité complexe comme la maladie de Crohn ou le diabète de type 2."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Traumatismes précoces et troubles bipolaires / Bruno Étain in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Traumatismes précoces et troubles bipolaires Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Étain Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 30-35 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Langues : Français (fre) Catégories : Traumatisme psychique chez l'enfant
Troubles bipolairesRésumé : "Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65?%, 1) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100?%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40?% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35[article] Traumatismes précoces et troubles bipolaires [texte imprimé] / Bruno Étain . - 2021 . - p. 30-35.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 30-35
Catégories : Traumatisme psychique chez l'enfant
Troubles bipolairesRésumé : "Les évènements traumatiques vécus dans l’enfance constituent un facteur de risque de développer des troubles bipolaires et d’en augmenter la sévérité. Cette dimension doit être prise en compte dans le projet de soin. Le point sur la recherche.
Les études d’épidémiologie génétique montrent l’implication de facteurs de risque génétiques dans les troubles bipolaires, comme en témoigne la forte héritabilité de ces troubles (de l’ordre de 65?%, 1) (voir aussi l’article de S. Jamain, p. 26). L’héritabilité correspond à la proportion de la maladie expliquée par la somme des facteurs génétiques. Néanmoins, les études de jumeaux montrent que la concordance observée pour le trouble bipolaire entre jumeaux monozygotes n’est jamais de 100?%. Ceci témoigne donc que des facteurs de risque non génétiques et partagés par les individus (d’une même fratrie par exemple) sont également à l’œuvre.
Dans les troubles bipolaires, on estime que 20 à 40?% de la maladie seraient expliqués des facteurs non génétiques, partagés ou non entre les individus atteints. Ces facteurs environnementaux qui augmentent le risque de développer un trouble bipolaire restent globalement méconnus."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Trouble bipolaire : la perception des familles / Katia M'Bailara in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Trouble bipolaire : la perception des familles Type de document : texte imprimé Auteurs : Katia M'Bailara ; Caroline Munuera Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 36-42 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir «?un vrai adulte?», il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «?se ranger?», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42[article] Trouble bipolaire : la perception des familles [texte imprimé] / Katia M'Bailara ; Caroline Munuera . - 2021 . - p. 36-42.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 36-42
Catégories : Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Les perceptions du patient mais aussi de sa famille sur le trouble bipolaire impactent l’évolution de la maladie et, plus globalement, la qualité de vie de chacun. Des groupes multifamiliaux d’éducation thérapeutique permettent aux uns et aux autres de modifier leurs représentations.
Des envies plein la tête, Tom, 26 ans, rêve de liberté. Il a terminé ses études de commerce, et, avant de devenir «?un vrai adulte?», il entend profiter de la vie et voyager. Mais une crise maniaque le conduit à être hospitalisé en psychiatrie, dans un service fermé. Depuis, Tom a le sentiment que le cours de sa vie lui échappe. Selon les médecins, il devra prendre un traitement toute sa vie, éviter tout facteur de risque, avoir une vie la plus régulière et la plus équilibrée possible… Ses parents lui disent qu’il doit vite «?se ranger?», pour se mettre à l’abri socialement et professionnellement. À l’inverse, les amis de Tom lui conseillent de prendre du bon temps, car « avec une maladie grave, on ne sait jamais trop ce qui peut arriver ». Quant au jeune homme lui-même, il hésite, il est un peu perdu, il a l’impression de n’avoir jamais eu si peu de libre arbitre, il ne sait plus s’il doit se faire confiance."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Troubles bipolaires et famille / Sébastien Gard in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et famille Type de document : texte imprimé Auteurs : Sébastien Gard Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 22-25 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique?: les soubresauts familiaux peuvent être violents?! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils «?félon?» et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25[article] Troubles bipolaires et famille [texte imprimé] / Sébastien Gard . - 2021 . - p. 22-25.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 22-25
Catégories : Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Caractérisé par ses fluctuations émotionnelles, le trouble bipolaire impacte d’une façon particulière le fonctionnement familial, alors que la mobilisation des proches reste un levier thérapeutique essentiel.
L’actualité people nous l’a récemment démontré, à travers le différend opposant le couple formé par Meghan et Harry au reste de la famille royale britannique?: les soubresauts familiaux peuvent être violents?! La lecture des tabloïds nous informe ainsi des affres de la vie de la famille la plus célèbre au monde, entre fils «?félon?» et bru contestée. Mais il s’agit avant tout d’une démonstration que le milieu familial est dynamique, mouvant, oscillant entre les unions et les ruptures, les éloignements et les rapprochements, tout comme les éléments composant la matière vivante."Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Troubles bipolaires et maternité : quel suivi ? / Sabine Caminade in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : Troubles bipolaires et maternité : quel suivi ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sabine Caminade ; Hugo Pergeline ; Michel Dugnat ; François Poinso ; Elsa Moreau ; Raoul Belzeaux ; Romain Guilhaumou Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 44-49 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires Langues : Français (fre) Catégories : Grossesse
Maternité
Suicide
Troubles bipolairesRésumé : "Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66?% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25?% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018?; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013)."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49[article] Troubles bipolaires et maternité : quel suivi ? [texte imprimé] / Sabine Caminade ; Hugo Pergeline ; Michel Dugnat ; François Poinso ; Elsa Moreau ; Raoul Belzeaux ; Romain Guilhaumou . - 2021 . - p. 44-49.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 44-49
Catégories : Grossesse
Maternité
Suicide
Troubles bipolairesRésumé : "Maéva, qui souffre d’un trouble bipolaire, a été suivie tout au long de sa grossesse puis au cours des premiers mois de vie de sa fille par un dispositif d’accompagnement périnatal. Durant cette période, les décompensations liées au trouble sont en effet fréquentes et souvent sévères.
La période allant de la grossesse aux deux ans de l’enfant est une fenêtre sensible pour le développement du sujet (Nugent, 2007). Or, durant cette période périnatale, le risque de rechute d’un trouble bipolaire maternel est majeur. Il est en effet estimé à 66?% en cas d’arrêt du traitement de fond (régulateur de l’humeur) contre 25?% en cas de poursuite (Wesseloo et al., 2016). La chute du taux hormonal après la naissance est par ailleurs un puissant déclencheur de troubles thymiques et l’arrivée d’un bébé bouleverse la vie des nouveaux parents, modifiant le cycle nycthéméral, ce qui risque aussi de déséquilibrer l’humeur (Lewis, 2018?; Krawczak et al., 2016). Les décompensations thymiques en post-partum peuvent entraîner une hospitalisation en psychiatrie et donc une séparation mère-enfant. En effet, ces épisodes, souvent sévères, sont associés à un risque suicidaire élevé (le suicide est l’une des premières causes de mortalité maternelle en France) (Santé publique France, 2013)."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » / Frédérique Van Leuven in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 58-63 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Soins en institutions
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : "Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «?hors de la maladie?», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte?: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses?: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63[article] « À l’Espace enfants, je passe du temps avec maman » [texte imprimé] / Frédérique Van Leuven ; Stéphanie Tanghe . - 2021 . - p. 58-63.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 58-63
Catégories : Malades mentaux -- Soins en institutions
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : "Dans cet hôpital belge, l’Espace enfants accueille tous les patients-parents qui le souhaitent, avec leurs enfants et familles, pour un temps informel et chaleureux. Un moment «?hors de la maladie?», adossé à des groupes de soutien et une consultation familiale.
Les patients hospitalisés dans notre établissement (1) souffrent des multiples troubles que l’on peut rencontrer en psychiatrie générale adulte et en hospitalisation sous contrainte?: troubles de l’humeur, épisodes psychotiques, dépendance à l’alcool et aux substances, tableaux plus complexes liés aux conséquences de carences et maltraitances infantiles et autres symptômes post-traumatiques. Nous estimons que plus de deux-tiers d’entre eux sont aussi parents, voire grands-parents. Quel que soit l’âge de leurs enfants, les usagers s’interrogent souvent sur les conséquences potentielles de leurs troubles sur ces derniers. Cette question les préoccupe mais ils n’osent pas toujours l’aborder avec les soignants, pour des raisons diverses?: culpabilité, peur qu’on s’intéresse de trop près à leurs enfants quand ils sont jeunes avec, souvent, la crainte d’un placement à l’arrière-plan, souci de les protéger d’une réalité trop dure, peur de peser. Fréquemment ils évoquent l’angoisse d’avoir transmis génétiquement leur maladie."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » / Charlotte Yonga in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » Type de document : texte imprimé Auteurs : Charlotte Yonga Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 50-53 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Famille
Maternité
Troubles bipolairesRésumé : "La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53[article] « Je ne peux plus faire comme si je n’étais pas malade… » [texte imprimé] / Charlotte Yonga . - 2021 . - p. 50-53.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 50-53
Catégories : Malades mentaux -- Famille
Maternité
Troubles bipolairesRésumé : "La photographe Charlotte Yonga, qui illustre ce numéro, souffre d’un trouble bipolaire, « une maladie qui affecte les relations, et précisément celles qui sauvent ». Elle revient sur son parcours, l’importance du soutien de ses proches, et sa récente maternité."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » / Anne-Laure Drainville in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Laure Drainville ; Shadya Monteiro ; Shyhrete REXHAJ Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 68-73 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Aidants naturels
Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Xavier, retraité, se sent dans une impasse?: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève, permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73[article] « Je ne sais plus quoi faire pour mon fils » [texte imprimé] / Anne-Laure Drainville ; Shadya Monteiro ; Shyhrete REXHAJ . - 2021 . - p. 68-73.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 68-73
Catégories : Aidants naturels
Malades mentaux -- Famille
Troubles bipolairesRésumé : "Xavier, retraité, se sent dans une impasse?: il voudrait aider son fils Martin dans la gestion de sa maladie bipolaire mais ce dernier refuse tout ce qu’il lui propose. En cinq séances étayées sur des outils très pertinents, le programme Ensemble l’aide à exprimer ses émotions, à lâcher-prise et à respecter l’autonomie de son fils.
Le programme Ensemble propose une intervention précoce, individuelle et brève, permettant aux proches de prendre en compte leurs besoins pour exercer leur rôle d’aidant. Développé en collaboration avec des proches aidants, il est conçu pour promouvoir leur bien-être ou améliorer leur état de santé à la suite des conséquences négatives des troubles psychiatriques des proches qu’ils soutiennent au quotidien."
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire « La maladie de papa, elle m’éclabousse » / Hélène Davtian-Valcke in Santé mentale, 258 (Mai 2021)
[article]
Titre : « La maladie de papa, elle m’éclabousse » Type de document : texte imprimé Auteurs : Hélène Davtian-Valcke ; Éliane Collombet ; Felisa Blancon ; Kadija Maach Année de publication : 2021 Article en page(s) : p. 54-57 Note générale : Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires" Langues : Français (fre) Catégories : Malades mentaux -- Famille
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : "Longtemps considérée comme un «?angle mort?» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi??
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «?cause?» du problème de santé à «?solution?» pour maintenir la personne dans son domicile."
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57[article] « La maladie de papa, elle m’éclabousse » [texte imprimé] / Hélène Davtian-Valcke ; Éliane Collombet ; Felisa Blancon ; Kadija Maach . - 2021 . - p. 54-57.
Cet article fait partie du dossier " Approche familiale des troubles bipolaires"
Langues : Français (fre)
in Santé mentale > 258 (Mai 2021) . - p. 54-57
Catégories : Malades mentaux -- Famille
Parents et enfants
Troubles bipolairesRésumé : "Longtemps considérée comme un «?angle mort?» de la psychiatrie, la question des fratries qui partagent le quotidien d’une personne souffrant de troubles psychiques est au cœur de l’activité des Funambules. Rencontre avec une équipe pionnière.
Vous avez créé en 2018 les Funambules, un espace dédié aux jeunes dont un proche souffre d’une pathologie psychiatrique. Comment est né ce projet et pourquoi??
Bien que l’on se soit attaché à ne pas les voir, il y a toujours eu des enfants auprès des personnes malades. Cependant, si aujourd’hui il devient urgent de tenir compte de leur présence, c’est que l’organisation des soins a énormément évolué. Nous nous appuyons sur les travaux du sociologue N. Carpentier qui analyse les évolutions de la place accordée à la famille du patient depuis les débuts de la désinstitutionalisation jusqu’à nos jours. Il évoque un véritable changement de paradigme qui a fait passer la famille de «?cause?» du problème de santé à «?solution?» pour maintenir la personne dans son domicile."Exemplaires
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