[article] 
inLe sociographe > 56 (Décembre 2016) . - p. 25-36

Titre :	Violences dans le secteur sanitaire et médico-social : ce que les professionnels disent de ce qu'ils vivent
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Cécile Carra
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	p. 25-36
Note générale :	Issu du dossier : "Violences : dans le secteur sanitaire et social"
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Sécurité (psychologie) Travailleurs sociaux -- Récits personnels Violence institutionnelle
Résumé :	"Cet article propose de rendre compte de l'expérience de violence des professionnels du secteur sanitaire et médico-social telle qu'ils la restituent. Les données ont été recueillies grâce à une enquête de victimation qui a permis d'obtenir 444 questionnaires exploitables. Elles montrent un sentiment de sécurité partagé par près de 87 % des enquêtés et une perception basse de la violence, regroupant les trois quarts des répondants. Paradoxalement, le niveau de victimation est élevé : 58,6 % des enquêtés déclarent avoir vécu des situations violentes dont 21,8 % à répétition."

[article] Violences dans le secteur sanitaire et médico-social : ce que les professionnels disent de ce qu'ils vivent [texte imprimé] / Cécile Carra . - 2016 . - p. 25-36.
Issu du dossier : "Violences : dans le secteur sanitaire et social"
Langues : Français (fre)
in Le sociographe > 56 (Décembre 2016) . - p. 25-36

Catégories :

Sécurité (psychologie) Travailleurs sociaux -- Récits personnels Violence institutionnelle

Résumé :

"Cet article propose de rendre compte de l'expérience de violence des professionnels du secteur sanitaire et médico-social telle qu'ils la restituent. Les données ont été recueillies grâce à une enquête de victimation qui a permis d'obtenir 444 questionnaires exploitables. Elles montrent un sentiment de sécurité partagé par près de 87 % des enquêtés et une perception basse de la violence, regroupant les trois quarts des répondants. Paradoxalement, le niveau de victimation est élevé : 58,6 % des enquêtés déclarent avoir vécu des situations violentes dont 21,8 % à répétition."