[article] 
inLe journal des psychologues > 401 (Novembre-Décembre 2022) . - p. 28-60

Titre :	La radicalisation. Quelles perspectives cliniques ? [Dossier]
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Thierry Lamote, Directeur de la recherche ; Olivier Douville, Directeur de la recherche
Année de publication :	2022
Article en page(s) :	p. 28-60
Note générale :	Dossier de 6 articles
Langues :	Français (fre)
Catégories :	Extrémisme (politique) Intégrisme Intégrisme islamique Radicalisation violente
Résumé :	"Le discours sur la radicalisation a envahi notre existence ordinaire. Le mot "radicalisation" est à la mode, et il fait peur. Il désigne une disparité de situations souvent liées à des formes différentes de guerres, tenues pour éloignées des guerres conventionnelles, et légitime des réponses institutionnelles de traitement (Benslama, 2019). Le terme "déradicalisation" a été prononcé très souvent, au plus haut étage politique, au point que le couplage radicalisation/déradicalisation semble former un couple comportementaliste, objectant à une inconduite par la prescription d'une conduite inverse. Le terme "radicalisation" fait ici l'objet d'une lecture clinique critique. [...]"
Note de contenu :	Bibliographie

[article] La radicalisation. Quelles perspectives cliniques ? [Dossier] [texte imprimé] / Thierry Lamote, Directeur de la recherche ; Olivier Douville, Directeur de la recherche . - 2022 . - p. 28-60.
Dossier de 6 articles
Langues : Français (fre)
in Le journal des psychologues > 401 (Novembre-Décembre 2022) . - p. 28-60

Catégories :	Extrémisme (politique) Intégrisme Intégrisme islamique Radicalisation violente
Résumé :	"Le discours sur la radicalisation a envahi notre existence ordinaire. Le mot "radicalisation" est à la mode, et il fait peur. Il désigne une disparité de situations souvent liées à des formes différentes de guerres, tenues pour éloignées des guerres conventionnelles, et légitime des réponses institutionnelles de traitement (Benslama, 2019). Le terme "déradicalisation" a été prononcé très souvent, au plus haut étage politique, au point que le couplage radicalisation/déradicalisation semble former un couple comportementaliste, objectant à une inconduite par la prescription d'une conduite inverse. Le terme "radicalisation" fait ici l'objet d'une lecture clinique critique. [...]"
Note de contenu :	Bibliographie